pologne warszawa
Comme à notre habitude, nous arrivons encore de nuit : Première image en sortant de la gare, l'énorme "Palac", que Staline s'est fait contruire...
On ne voit pas très bien mais il y a plein de mini statues partout le long des "balcons" (je sais pas trop comment indiquer où exactement, mais partout !). il est vraiment énorme, et ne tranche pas beaucoup avec les gratte-ciel modernes qui l'entourent (zone très désagréable, avec plein d'immeubles immenses, d'enseignes publiciatires, de voitures et de passages piétons où faut attendre une plombe que ça passe au vert, et où faut surtout aps se risquer à traverser au rouge sous peine de déoucpage en deux par une voiture en furie).
Encore un vieux centre reconstitué, plein de couleurs. A Varsovie, il n'a vraiment pas fait beau, il a même plu, il a même fait un vent glacial et violent, Killian était dans un état encore pire, et on a fait la "visite" de la ville avec un bus qui ne nous a balader qu'entre les bâtiments communistes (donc moches), et je me suis même endormie, jusqu'à ce qu'on arrive là (sur la photo ci-dessous), et que je propose de sortir visiter un peu à pieds. Sous une petite pluie fine, on a marché 5mn, on a dit "wah c'est beau" et puis on est rentrés dans un petit café qui avait l'air très sympa, boire un chocolaaaaat (ici c'est que des chocolats qui se boivent à la cuillère tellement ils sont faits maison avec du vrai chocolââât), un thé et je ne sasi quoi, et manger des gâteaux maison (Claire voulait attendre qu'il soit 16h pile pour déculpabiliser de grignotter, mais on a tous constaté qu'à 15h49 elle s'est jetée sur son chocolat et le cheese cake... ! ça s'est vraiment passé comme ça, sans exagération floresque cette fois!
Ici l'intérieur du petit café très sympa, avec exposition et vente de porcelaines. et de vitraux artisanaux
Après le chocolat, on est allés comme 4 ptites fleurs des champs à l'arrêt de bus... pour constater qu'il n'y avait plus de bus à cet arrêt-là, fini son service... (après je voulais préciser être allés dans 5 cafés différents opur avoir de la monnaie pour les tickets de bus). donc c'est parti pour 3/4 d'h de marche pour rentrer, sous la pluie et le vent, avec Killian toujours fiévreux... le pauvre. Et puis on s'est acheté des trucs à manger pour le lendemain avec les zloty qui nous restaient, en calculant qu'il nous resterait assez, avec le deposit laissé à l'hôtel pour les clés, pour une pizza le soir et l'achat d'une bouteille de vodka à ramener à Prague.
Ensuite, Killian est allé voir le docteur, et pour multiples raisons, on a décidé de rentrer (par un grand soleil...) à Prague. euh en fait, Killian était allé voir le docteur le matin, avant la "visite" , et ça c'est encore un truc pas possible, centre médical privé (le seul ouvert à proximité un dimanche), situé dans l'hôtel Marriott (super chicos), mais avec un médecin adorable qui nous a tout bien expliqué en anglais, comme quoi, ben, il avait une bronchite carabinée et qu'il avait 6 médocs différents à prendre.
Et pour se réconforter, on a prévu de partir à Vienne deux ou trois jours plus tard !
Mais ça c'est une autre histoire, répondit le Père Castor.
On ne voit pas très bien mais il y a plein de mini statues partout le long des "balcons" (je sais pas trop comment indiquer où exactement, mais partout !). il est vraiment énorme, et ne tranche pas beaucoup avec les gratte-ciel modernes qui l'entourent (zone très désagréable, avec plein d'immeubles immenses, d'enseignes publiciatires, de voitures et de passages piétons où faut attendre une plombe que ça passe au vert, et où faut surtout aps se risquer à traverser au rouge sous peine de déoucpage en deux par une voiture en furie).
Encore un vieux centre reconstitué, plein de couleurs. A Varsovie, il n'a vraiment pas fait beau, il a même plu, il a même fait un vent glacial et violent, Killian était dans un état encore pire, et on a fait la "visite" de la ville avec un bus qui ne nous a balader qu'entre les bâtiments communistes (donc moches), et je me suis même endormie, jusqu'à ce qu'on arrive là (sur la photo ci-dessous), et que je propose de sortir visiter un peu à pieds. Sous une petite pluie fine, on a marché 5mn, on a dit "wah c'est beau" et puis on est rentrés dans un petit café qui avait l'air très sympa, boire un chocolaaaaat (ici c'est que des chocolats qui se boivent à la cuillère tellement ils sont faits maison avec du vrai chocolââât), un thé et je ne sasi quoi, et manger des gâteaux maison (Claire voulait attendre qu'il soit 16h pile pour déculpabiliser de grignotter, mais on a tous constaté qu'à 15h49 elle s'est jetée sur son chocolat et le cheese cake... ! ça s'est vraiment passé comme ça, sans exagération floresque cette fois!
Ici l'intérieur du petit café très sympa, avec exposition et vente de porcelaines. et de vitraux artisanaux
Après le chocolat, on est allés comme 4 ptites fleurs des champs à l'arrêt de bus... pour constater qu'il n'y avait plus de bus à cet arrêt-là, fini son service... (après je voulais préciser être allés dans 5 cafés différents opur avoir de la monnaie pour les tickets de bus). donc c'est parti pour 3/4 d'h de marche pour rentrer, sous la pluie et le vent, avec Killian toujours fiévreux... le pauvre. Et puis on s'est acheté des trucs à manger pour le lendemain avec les zloty qui nous restaient, en calculant qu'il nous resterait assez, avec le deposit laissé à l'hôtel pour les clés, pour une pizza le soir et l'achat d'une bouteille de vodka à ramener à Prague.
Ensuite, Killian est allé voir le docteur, et pour multiples raisons, on a décidé de rentrer (par un grand soleil...) à Prague. euh en fait, Killian était allé voir le docteur le matin, avant la "visite" , et ça c'est encore un truc pas possible, centre médical privé (le seul ouvert à proximité un dimanche), situé dans l'hôtel Marriott (super chicos), mais avec un médecin adorable qui nous a tout bien expliqué en anglais, comme quoi, ben, il avait une bronchite carabinée et qu'il avait 6 médocs différents à prendre.
Et pour se réconforter, on a prévu de partir à Vienne deux ou trois jours plus tard !
Mais ça c'est une autre histoire, répondit le Père Castor.