Terezin
Cela faisait longtemps que nous devions faire cet artcile, sur Terezin, ancien camp de concentration pour travailleurs forcés.
Mais envue d'un article plus sérieux, il nous fallait un peu plus de temps pour mesurer nos mots...
Voilà donc notre troupe embarquée vers Terezin avec notre chère Misa comme guide. Bonh, déjà on loupe le car du matin grâce à Misa qui nous avait donné un horaire de rendez-vous incompatible avec celui de la gare routière. Soit.
On est accueillis par des rangées de tombes fleuries, certaines portant nom et prénom, certaines juste une sorte de numéro d'immatriculation. Il y a des galets posés sur pas mal de tombes, malheureusement je n'en connais pas la signification.
A ce propos, Robert Desnos est mort là-bas
On arrive donc dans l'enceinte de la prison. En fait, la ville de Terezin était un ghetto à elle seule, et comprenait sa propre prison logée dans le château fort déjà présent. Les prisonniers étaient donc naturellement bien gardés.
On peut voir en rentrant dans la prison une phrase qui dit "Le travail, c'est la liberté" (j'espère que je ne dis pas de bêtises, deutsh spoken, reprenez moi). Cette place servait de zone transitoire où les détenus allaient s'enregistrer et échanger leurs vêtements et effets personnels contre des panoplies de prisonniers : Uniforme, gamelle, et louche (pour boire les soupes de rien du tout).
Ci-dessous la cantine et la douche (une fois par semaine, ils en profitaient pour faire laver leurs uniformes, qu'ils mettaient trempés en sortant de la douche, dans le froid -beaucoup mourraient de maladies dues au froid et à l'humidité)
Ci-dessus le dortoir pour 100 personnes, avec son unique WC ci-contre, dans la même pièce sans porte. Les épidémies de gastro étaient le lot quotidien des prisonniers.
Les prisonniers qui tentaient de s'évader avaient leur cellule individuelle. Peut-être 5m2 (je ne saurais évaluer correctement) mais dans le noir le plus complet sans eau ni nourriture. C'était pour eux leur ultime destination.
Après la guerre, Terezin a continué de fonctionner, emprisonnant cette fois des allemands, dans des cellules individuelles (avec lumière).
Ah, j'ai réussi à mettre la main sur Misa (mauvaise photo mais c'est la seule que j'ai d'elle, et puis c'était le petit mot de la fin pour rendre moins sombre mon article).
Mais envue d'un article plus sérieux, il nous fallait un peu plus de temps pour mesurer nos mots...
Voilà donc notre troupe embarquée vers Terezin avec notre chère Misa comme guide. Bonh, déjà on loupe le car du matin grâce à Misa qui nous avait donné un horaire de rendez-vous incompatible avec celui de la gare routière. Soit.
On est accueillis par des rangées de tombes fleuries, certaines portant nom et prénom, certaines juste une sorte de numéro d'immatriculation. Il y a des galets posés sur pas mal de tombes, malheureusement je n'en connais pas la signification.
A ce propos, Robert Desnos est mort là-bas
On arrive donc dans l'enceinte de la prison. En fait, la ville de Terezin était un ghetto à elle seule, et comprenait sa propre prison logée dans le château fort déjà présent. Les prisonniers étaient donc naturellement bien gardés.
On peut voir en rentrant dans la prison une phrase qui dit "Le travail, c'est la liberté" (j'espère que je ne dis pas de bêtises, deutsh spoken, reprenez moi). Cette place servait de zone transitoire où les détenus allaient s'enregistrer et échanger leurs vêtements et effets personnels contre des panoplies de prisonniers : Uniforme, gamelle, et louche (pour boire les soupes de rien du tout).
Ci-dessous la cantine et la douche (une fois par semaine, ils en profitaient pour faire laver leurs uniformes, qu'ils mettaient trempés en sortant de la douche, dans le froid -beaucoup mourraient de maladies dues au froid et à l'humidité)
Ci-dessus le dortoir pour 100 personnes, avec son unique WC ci-contre, dans la même pièce sans porte. Les épidémies de gastro étaient le lot quotidien des prisonniers.
Les prisonniers qui tentaient de s'évader avaient leur cellule individuelle. Peut-être 5m2 (je ne saurais évaluer correctement) mais dans le noir le plus complet sans eau ni nourriture. C'était pour eux leur ultime destination.
Après la guerre, Terezin a continué de fonctionner, emprisonnant cette fois des allemands, dans des cellules individuelles (avec lumière).
Ah, j'ai réussi à mettre la main sur Misa (mauvaise photo mais c'est la seule que j'ai d'elle, et puis c'était le petit mot de la fin pour rendre moins sombre mon article).